vendredi 28 octobre 2011

Énigme 29

Qui suis-je? 
Fille d'un ministre des finances, parente par alliance d'un célèbre peintre né en Russie, femme d'ambassadeur, j'ai dû me réfugier dans un château dont le nom est un homophone hétérographe d'un chef de parti politique actuel.

Je dévoilerai d'autres indices si vous en avez besoin...

Excusez la présentation très spartiate de cette énigme! Je ne peux faire mieux... 
Si vous le souhaitez, vous pouvez envoyer votre réponse à xtinemer@gmail.com avant mardi soir prochain.

Amusez-vous bien!

Bravo à Anna, ZapPow, Calyste, Catherine, Pierre, Patrick, Eric et Flocon. Vous avez toutes et tous reconnu cette fille de Necker, parente par son mariage avec l'ambassadeur de Suède Staêl-Holstein de Nicolas de Staël.  Elle s'est réfugiée au château de Coppet, exilée par Napoléon Bonaparte; elle reviendra à Paris (en même temps que les Bourbon) et "fera salon". Merci de votre participation à toutes et tous. 

J'avoue ne pas avoir lu grand-chose de cette dame, hormis quelques extraits dont je n'ai qu'un très très vague souvenir...

11 commentaires:

Anna F. a dit…

J'ai envoyé ma réponse. "hétérographe" ... j'avoue que j'ai pris mon dictionnaire. Bravo pour cet indice. Bon week-end chère Christine.
Anna F.

Calyste a dit…

Fille d'un ministre des finances! J'ai tout de suite pensé à elle!

Christine a dit…

Bravo Anna! C'est gagné! Mes petits élèves de 6ème aiment beaucoup jouer avec tous ces mots (homophones homographes, homophones hétérographes, paronymes, antonymes, etc.).

Christine a dit…

Calyste, vous avez vous aussi trouvé, bravo! J'aurais dû formuler d'une façon plus énigmatique ce premier indice, mais j'ai l'esprit en vacances... Là où je suis , il a neigé 20 cm mardi dernier: depuis il fait beau et les mélèzes d'un blond vénitien flamboyant tentent de retenir
un automne qui ne veut pas mourir. Le week-end sera fait de balades au milieu des derniers troupeaux de moutons qui broutent l'herbe encore verte des véranda sud au son des clarines .

Christine a dit…

Bravo ZapPow! C'est reposant quand c'est facile, non? C'est finalement une figure connue...L'avez-vous lue ou n'en avez-vous étudié tout comme moi que des
extraits dans l'incontournable Lagarde et Michard?

Flocon a dit…

C'est lui l'homophone homographe alors?

A l'air sympathique ce garçon...

ZapPow a dit…

Je ne me souviens pas l'avoir lue, ni même l'avoir étudiée dans le Lagarde et Michard. Pourtant, j'ai bien dû le faire, pour avoir aussitôt pensé à elle.

Christine a dit…

C'est pas mal en effet Flocon comme insulte: "espèce d'homophone hétérographe".

Flocon a dit…

Homophone hétérographe oui et non homographe comme j'ai écrit. De toute façon homo ou hétéro graphe, il est pas beau!

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Un peu comme ZapPow, c'est plus en tant que fille de Necker que je me souviens avoir appris son nom au lycée que comme auteur de Delphine ou De la littérature dans ses rapports avec les institutions sociales.

Il y a quelques années cependant, j'avais emprunté De l'Allemagne à la bibliothèque municipale (très probablement en G.F), ai dû en lire la première demie-page et en suis resté là, me faisant la réflexion que j'avais plus important à lire...

Peut-être suis-je passé à côté d'un plaisir que je n'ai pas su saisir...

Christine a dit…

Je ne sais pas Flocon...
On peut le dire comme ça; je n'ai pratiquement rien lu de la dame en question.

Avouez tout de même que homographe ou hétérographe, c'est pas mal pour désigner un "monsieur-qu'il-est- pas-beau"...

Anna F. a dit…

J'ai reçu, il y a quelques années, le livre de Jean-Denis Bredin "Une singulière famille" consacré à Jacques Necker, Suzanne Necker (fondatrice de l'hôpital qui porte encore son nom) et Germaine de Staël. En première page, "... écrire était pour eux vivre, l'acte qui assemble le coeur, l'esprit et l'âme". Je me souviens d'avoir été frappée par l'adoration que ces trois personnages se portaient mutellement. "Tous trois à genoux, en constante adoration, les uns des autres". Je n'ai pas oublié non plus la personnalité très secrète de Mme de Staël, mais cela ne m'a pas donné envie de lire ses livres.