Envoyez vos réponses par mail à xtinemer@gmail.com avant dimanche 20 heures. Je donnerai la solution et l'identité de (ou des) heureux gagnant (s).
Comme je n'"entends" rien venir, je vous propose un indice supplémentaire.
Amusez-vous bien!
Réponse
Il s'agissait donc de Candide de Voltaire, publié en 1759.
La première image faisait allusion au tremblement de terre de Lisbonne (1755). Il inspira à Voltaire une autre oeuvre, son Poème sur le désastre de Lisbonne qui lui permit de remettre en cause la théodicée ("optimisme raisonné") de Leibniz .
La deuxième photo présentait une Cadillac Eldorado, pays utopique que découvre Candide dans son périple, et à partir duquel ce héros va commencer à raisonner par lui-même.
La troisième photo faisait allusion aux retrouvailles avec la vieille et Cunégonde, qui étendent leur linge en terre de Propontide. C'est une parodie de l'épisode homérique de Nausicaa, aux bras blancs, qui accueille le naufragé Ulysse.
Enfin la dernière renvoie à la philosophie que se forge Candide contre Pangloss: "Il faut cultiver son jardin."
Les heureux gagnants sont Anijo et Pierre! Bravo à eux et un coup de chapeau tout particulier à Anijo, Américaine qui a lu en français ce conte philosophique!
Un petit cadeau tout spécial for you
15 commentaires:
Un tremblement de terre + un cadillac rose + le linge + le Bosphore ou Istanbul... mmmm.. je n'ai aucune idée !
Where to begin? ;)
Par le commencement, Anijo. Un tremblement de terre décrit par un écrivain, ça ne court pas les rues...
Rires!
Ah, je crois que j'ai la bonne réponse. Mais le linge et le cadillac je ne peux pas expliquer.
Anijo, propose-moi ta réponse. Ce n'est pas grave si tu ne peux pas tout expliquer. Tu envoies ta réponse par mail, d'accord?
J'avais envoyé la réponse à ton gmail. Maintenant je sais expliquer le cadillac. Il me reste d'expliquer le linge.
Il y a une autre vidéo pas mal du tout. La VOICI.
J'étais partie chercher sur You Tube un extrait de Candide lu par un comédien et voilà que je découvre une mine de vidéos! Incroyable...
Sans l'indice supplémentaire je n'aurais pas trouvé.
Mais quand il est question de jardinage je me réveille!
Bravo Anijo!
Merci Christine. Merci Pierre.
Grosses Bises à les deux. ☺ ☺
Alors là, total respect à Anijo!
I feel so humble now.
Comme Pierre, les outils de jardinage m'ont tout de suite évoqué la célèbre dernière phrase de Candide mais je n'ai plus le moindre souvenir de l'Eldorado, de Cunégonde etc.
Encore bravo Anijo mais là c'est vraiment le blogue de la crème de l'élite alors...
Merci Flocon !
Cette énigme m'avais fait penser à cette chanson
J'étais partie chercher sur You Tube un extrait de Candide lu par un comédien et voilà que je découvre une mine de vidéos! Incroyable...
Ah oui. Demain matin je vais m'amuser à regarder pal mas de ces vidéos. Merci Christine pour avoir ouvri encore une porte de la connaissance.
Anijo,
J'aime ton enthousiasme!
J'ai été très contente de revoir Istambul grâce à cette vidéo! J'aime beaucoup cette ville et nous y avons passé de si bons moments! Nous avons beaucoup marché dans la ville, et nous nous sommes même payé le luxe d'aller au parc de Yldiz, un dimanche, au milieu des familles stambouliotes qui pique-niquaient ou jouaient! Cet été-là, je lisais en même temps le bouquin d'Omar Pamuk "Istamboul: souvenirs d'une ville".
Deux petites incorrections dans ton expression Anijo! "Bises à tous les deux) (et non bises à les deux) et "pour avoir ouvert" (et non ouvri). Les participes passés sont un vrai casse-tête en français.
Bonne journée à toi!
Flocon,
Vous aimez jardiner?
Cunégonde, Pangloss, l'esclave de Surinam sont des personnages incontournables, aujourd'hui encore! Voltaire, et ce conte en particulier, tombe souvent à l'épreuve orale du bac français (cela veut dire qu'il est encore étudié chaque année par de nombreux élèves de première, qui n'en raffolent pas). A tel point que parfois, j'en ai un peu une indigestion!
A la première photo, j'avais pensé à Candide, mais je suis resté incapable d'interpréter les autres!
Christine,
J'ai voulu te remercier pour m'avoir corriger. Je veux te dire que je l'apprécie même si je ne le dis chaque fois.
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