mercredi 22 février 2012

Vol au-dessus d'un nid de coucou

A Auriane, qui a choisi ce difficile métier (et qui est tout le contraire de Mildred Ratched !)

C'était en 1975, j'avais 18 ans et ce film-là, je ne l'ai jamais oublié. Je n'ai jamais plus revu non plus un Jack Nicholson aussi fort, aussi puissant, aussi impressionnant et "sincère" dans son jeu d'acteur.
Ce film m'émeut toujours autant et j'ai toujours la gorge serrée quand Chef s'enfuit ...de l'écran.


6 commentaires:

chri a dit…

Ah ça oui! La même émotion forte, sans doute... Celui-là et un autre que je ne veux pas revoir:

If...

Calyste a dit…

Ah oui, un grand souvenir pour moi aussi....

Anna a dit…

Oui un excellent film. Je ne l'ai pas revu. Je ne me souviens pas d'une émotion particulière, seulement d'un acteur remarquable. Mais If, quel moment ... Sanctus, sanctus ...

Christine a dit…

Je vois que tous les trois, vous avez été aussi marqués par ce film. Le monde psychiatrique était décrit sans concession et je pense à l'époque sans exagération.
Je n'ai jamais vu If mais ce doit être quelque chose à vos dires, Anna et Chri! Mais je vais essayer de réparer ça. Il n'est jamais trop tard.

Claire Massart a dit…

Je revois ce film régulièrement pour ne pas oublier ce que fut la psychiatrie (ce qu'elle est en train de devenir) et revoir certains visages... même celui de la terrible infirmièer. Oui, quel film ! Et quel tournage, paraît-il !

Christine a dit…

Oui Claire, on n'oublie rien ! Tu as raison de soulever le problème de la psychiatrie: les hôpitaux qui reçoivent ces gens, n'ont pas de moyens. On renvoie les malades vers des consultations privées qu'ils ne peuvent se payer et les psychiatres protestent car ils ne peuvent rien faire pour eux.
Il faut aujourd'hui une véritable vocation et un courage à toute épreuve pour devenir infirmière en hôpital psychiatrique. Et puis tellement de gens -je pense aux SDF ou aux gens isolés- sont laissés sans soins... La crise accentue aussi les écarts dans la santé