Je suis un peu comme toi Chri. Ce mot est fascinant: une silhouette étrange dans notre langue, une prononciation qui renvoie à un monde imaginaire (à la Tintin), et surtout un ensemble qui prête à sourire. Du reste, dans la bouche de De Gaulle, qui lui redonne vie - la France sans doute découvrit ce mot!-il prend le sens péjoratif qu'il a aujourd'hui...mais c'est un mot qui a quasiment disparu. Un peu normal puisque cette langue n'a jamais été parlée. Je suis contente que mon abécédaire ait permis de l'exhumer de l'oubli.
Merci du lien Chri. Je l'ai écouté, le "beau ténébreux". Au début j'ai trouvé la diction lente. Je ne peux pas dire que je raffole de sa voix : peut-être que si je l'avais vu jouer, en Avignon, c'eût été plus émouvant. Comme je le disais à Calyste, je ne me sens pas proche de cet acteur. Dans cette génération, j'ai aimé Jean Piat, dans Lagardère, que je suivais à la téloche. Même Fanfan la Tulipe me laissait de glace devant le beau Lagardère et son histoire de vengeance, inspirée de Le Bossu, roman de Féval pour lequel j'ai toujours eu beaucoup de tendresse.
4 commentaires:
Ca a une certaine allure, quand même...
Le lien est amusant, il apprend ainsi qu'en volapuk pokamon veut dire: argent de poche...
Je suis un peu comme toi Chri. Ce mot est fascinant: une silhouette étrange dans notre langue, une prononciation qui renvoie à un monde imaginaire (à la Tintin), et surtout un ensemble qui prête à sourire. Du reste, dans la bouche de De Gaulle, qui lui redonne vie - la France sans doute découvrit ce mot!-il prend le sens péjoratif qu'il a aujourd'hui...mais c'est un mot qui a quasiment disparu. Un peu normal puisque cette langue n'a jamais été parlée. Je suis contente que mon abécédaire ait permis de l'exhumer de l'oubli.
L'écouter comme une musique fiévreuse!
http://www.youtube.com/watch?v=vCXMbuPsH64&feature=related
Merci du lien Chri. Je l'ai écouté, le "beau ténébreux". Au début j'ai trouvé la diction lente. Je ne peux pas dire que je raffole de sa voix : peut-être que si je l'avais vu jouer, en Avignon, c'eût été plus émouvant. Comme je le disais à Calyste, je ne me sens pas proche de cet acteur.
Dans cette génération, j'ai aimé Jean Piat, dans Lagardère, que je suivais à la téloche. Même Fanfan la Tulipe me laissait de glace devant le beau Lagardère et son histoire de vengeance, inspirée de Le Bossu, roman de Féval pour lequel j'ai toujours eu beaucoup de tendresse.
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